À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, l’heure est au bilan d’un mandat qui aura marqué une étape décisive dans la transformation du Congo. Sous l’impulsion du président Denis Sassou N’Guesso, le pays poursuit sa marche vers le développement, porté par une vision qui prend forme à travers des réalisations concrètes.

De Brazzaville à Pointe-Noire, en passant par Dolisie et Ouesso, les chantiers initiés témoignent d’une volonté sans faille de modernisation. La bataille des infrastructures, pierre angulaire du programme présidentiel, transforme visiblement le paysage congolais. Routes, ponts, zones économiques spéciales : le Congo de 2024 dessine déjà les contours d’une nation émergente.

« Nous rendons hommage au PCT, cet instrument politique qui rassemble les Congolais depuis 55 ans », déclarait récemment Pierre Moussa, secrétaire général du parti. Une longévité qui n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’une vision claire portée par le président Sassou N’Guesso, celle d’un Congo uni, moderne et prospère.

« La Force Montante Congolaise mesure chaque jour l’ampleur du travail accompli sous le leadership du président Denis Sassou N’Guesso », affirme avec conviction Vadim Osdet Mvouba, premier secrétaire de la FMC. « Notre jeunesse est le témoin privilégié des transformations profondes qui s’opèrent dans notre pays. Nous voyons les routes qui se construisent, les zones économiques qui émergent, les écoles qui s’érigent. Certes, des défis persistent et le chemin est encore long, mais rien ne pourra arrêter cette dynamique de développement déjà en marche. Les jeunes du PCT sont plus que jamais mobilisés pour accompagner cette vision et poursuivre l’œuvre de modernisation engagée. Nous sommes les héritiers d’une vision qui fait ses preuves, et nous avons la responsabilité historique de la porter vers l’avenir. »

De la bataille de l’agriculture à celle de l’industrialisation, en passant par la modernisation de l’administration, chaque initiative s’inscrit dans une stratégie globale cohérente. Les zones économiques spéciales de Maloukou et Pointe-Noire émergent comme les symboles d’un Congo qui se modernise. La diversification économique prend forme à travers des projets structurants qui dessinent un Congo moins dépendant des hydrocarbures.

À l’approche de l’échéance électorale de 2026, l’heure n’est pas au ralentissement. Au contraire, 2025 s’annonce comme « une année charnière », selon les mots de Pierre Moussa. Les chantiers se poursuivent, les projets s’accélèrent. La transformation du pays est en marche, portée par une vision claire et des réalisations tangibles qui appellent à la continuité pour leur plein accomplissement.